Expo photo aux Longitudes

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Depuis le 2 octobre, mes photos s’affichent sur les murs du restaurant des Longitudes à Rochefort.

Sur le site de la Corderie Royale, plus exactement entre celle-ci et le site de l’Hermione (attention, elle est en mer jusqu’à la mi-novembre), le restaurant des Longitudes, géré par le Centre International de la Mer accueille les gourmets et les gourmands pour une pause déjeuner salvatrice.

Profitez-en pour jeter un oeil aux photos accrochées aux cimaises ! Plus d’une quinzaine de panneaux présentant des diptyques ou des grands formats sur le thème de « l’Hermione, l’embarquement ».

Ces photos ont été prises ces derniers mois.

Pour ceux qui n’auraient pas faim ou qui viendraient en dehors des heures de repas, le restaurant/salle d’expo est ouvert tous les jours de 10H à 18H.

Et si ça vous a plu, laissez un petit mot sur le livre d’or du resto !

Iso or not iso !

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L’un des principaux atouts du numérique, c’est la photo à haut iso.

En gros, il s’agit d’utiliser le « gain » du capteur numérique pour doper les performances de votre boitier en photo basse lumière.

Spectacles, concerts, photo nocturne en général… la possibilité offerte par les plus récents appareils de prendre des photos à 1 600, 3 200 voire 6 400 iso a ouvert un nouveau champ des possible à la photographie.

Finis les flous de bougé, oubliés le grain ultra présent et les contours ramollis au point de ne plus distinguer les détails. N’ayez plus peur désormais d’afficher des valeurs iso élevées pour « shooter » dans l’obscurité.

Plus la taille de votre capteur est importante (1″, APS-C, plein format 24×36), meilleurs seront les résultats.

Bien sûr, il faudra la plupart du temps développer votre fichier numérique (au format RAW), pour apporter quelques corrections logicielles. Mais le résultat obtenu vous récompensera de tous vos efforts.

La photo ci-dessus a été prise a 3 200 iso avec un boitier APS-C. La plupart des équipements récents sont aujourd’hui capables de travailler à 1 600 iso sans difficulté. Si vous disposez d’un objectif lumineux (f2,8) éventuellement assorti d’un monopode (très utile avec des télézooms), vous pourrez pousser encore un peu plus loin vos limites.

A tester sans attendre, vous verrez, cela devient vite addictif !

 

 

L’Hermione à Bordeaux

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La Frégate de la liberté vient de passer 5 jours dans le port de la Lune à Bordeaux.

Après dix-sept années de construction, la réplique du vaisseau du XVIIIème siècle qui a permis au Marquis de La Fayette de traverser l’Atlantique pour rejoindre les « insurgents » américains en 1780, a enfin pris la mer.

Cette frégate de 66 m de long pour 47 m de tirant d’air a tout d’abord navigué dans les pertuis, fait un tour en Bretagne, avant de remonter l’estuaire de la Gironde, direction Bordeaux.

Une escale rallongée qui a permis à près de 20 000 personnes de monter à bord et découvrir le fantastique travail de ceux qui ont reconstruit l’Hermione depuis 1997.

Avec 79 membres de d’équipage, en majorité volontaires et peu expérimentés, la frégate à bénéficié pour ces premier miles en mer d’excellentes conditions météo. Le commandant, Yann Cariou, ex-capitaine du Belem, s’est dit très satisfait des qualités marine de son vaisseau.

Lundi 13 octobre, le navire a quitté le havre de Bordeaux pour descendre l’estuaire. Cap sur Brest, où la frégate est arrivée le 17 octobre après avoir affronté le gros temps, histoire de bien amariner l’équipage.

L’Hermione rejoindra son port d’attache de Rochefort-sur-mer à la mi-novembre pour y passer l’hiver. Passez donc y faire un tour !

 

H (4 sur 12)

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